Prends quelque temps de repos, non seulement le corps mais aussi l'âme s'en portera mieux.

Sois fidèle à te laisser conduire par l'Esprit de Dieu comme une plume se laisse conduire au gré du vent.


Au plus secret de toi-même, Dieu te connaît et t'accompagne avec une attention infinie, inlassablement son regard te crée, te conduit.


Quoique nous ne sentions pas Dieu, Il est là.

Ne t'inquiète pas si tu  perds la présence de Dieu dans tes activités... si c'est bien à l'oeuvre de Dieu à laquelle tu travailles.

Les chrétiens doivent se réjouir de ce que Jésus-Christ est ressuscité. Mais pour eux, ils doivent plutôt penser à retourner dans les combats pour établir ici-bas son Royaume.

Le vrai chrétien ne recherche pas les consolations sensibles, il désire uniquement plaire à Dieu.

Plus on avance dans la vie spirituelle, plus on voit le peu qu'on a fait.

Plus nous sommes unis à Dieu, plus nous recevons de force d'esprit et de zèle, puisque Lui seul en est la source et l'océan.

Ce qui s'est fait réellement et physiquement dans l'humanité de Jésus-Christ, par l'Incarnation du Verbe, se réalise aussi en notre âme.

Sois entre les mains de Dieu comme un pinceau dans celles du peintre ou la plume dans celle de l'écrivain, même s'il faut pour bien écrire, que la plume soit souvent coupée, tranchée, taillée.

Beaucoup de personnes veulent servir Dieu, mais la plupart ne veulent pas que Dieu se serve d'elles.

Deux sortes de patience sont nécessaires : à l'égard de soi-même, voyant qu'on avance si peu ; à l'égard des autres, devant les résistances rencontrées.

Il faut quelquefois se servir de la prudence humaine comme d'un escabeau pour arriver à la prudence divine.

Même si notre coeur possédait tout l'univers, il serait toujours vide, s'il n'est pas rempli de Dieu et capable de Dieu. Il ne peut être comblé que par Dieu.

Quand tu ne pourras pas quitter ce que tu as et ce que tu possèdes, quitte-toi toi-même, alors tout est quitté.

Dieu est souverainement grand, mais il prend plaisir à se faire proche des petits.